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En 1944, Joseph Joanovici investit de l'argent dans la Résistance, prêt à toutes les compromissions pour ne pas faire partie de ceux qui seront désignés coupables de l'extermination des Juifs.

Joseph Joanovici au plus fort de ses mystères et de ses contradictions. Le troisième épisode d'une grande saga d'Histoire et d'Aventure mais pas seulement, unanimement saluée par la critique et les lecteurs.En cette période noire de l'Occupation, le ferrailleur félon Joseph Joanovici a un gros problème : il a trop d'argent... Un argent pas toujours très propre. Un argent obtenu à force de compromissions avec les allemands. Mais qu'il pourrait être assez facile de blanchir efficacement. En l'investissant dans la Résistance, par exemple... Inspirée de faits réels passés au crible de l'imagination de Fabien Nury et de sa formidable rigueur documentaire, Il était une fois en France poursuit son décryptage de la collaboration et de la complexité de l'âme humaine à travers le destin d'un salaud ordinaire se révélant parfois homme ou ami exemplaire... Toujours campé par Sylvain Vallée, Joseph Joanovici est de ces personnages à l'épaisseur rare et toujours aussi dérangeante... Une série incontournable, saluée conjointement par critiques et lecteurs.

L'histoire de Joseph Jaonovici, Juif roumain devenu l'homme le plus riche de France pendant l'Occupation. Ferrailleur, collabo, résistant, il fut un criminel pour certains, un héros pour d'autres.

Joseph Joanovici comparait finalement en juillet 1949 devant la Cour de justice de Paris pour collaboration. Son avocat est optimiste, mais c'est sans compter sur la haine du juge Jacques Legentil Fin de la série.

Jacques Legentil, un juge plein de zêle, veut faire tomber Joseph Joanovici et ses complices et revient, en septembre 1946, sur le meurtre de Robert Scaffa. Mais les actes de Joseph au sein de la Résistance le rendent intouchable, alors que les dossiers de vrais collaborateurs s'entassent...

L'histoire de Joseph Joanovici, Juif roumain devenu l'homme le plus riche de France pendant l'Occupation. Ferrailleur, collabo, résistant, il fut un criminel pour certains, un héros pour d'autres.

Moscou, 1905. Les révolutions russes germent, la Russie tsariste décline. Dans ce contexte d'extrême tension politique et sociale, un geste en apparence anodin du gouverneur Sergueï Alexandrovitch met le feu aux poudres et signe son arrêt de mort. Georgi, un terroriste, fera tout pour l'éliminer. Voilà l'histoire que racontait Mort au tsardans un diptyque exposant tour à tour les deux points de vue, celui de la victime (tome 1) et de son assassin (tome 2). Il n'y aura pas d'intégrale de Mort au tsar. A la place, il y a Moscou année zéro. Ce sont les mêmes pages que celles du diptyque, mais nous croyons que c'est un nouveau livre. Cas d'école unique en bande dessinée, Fabien Nury et Thierry Robin ont "remonté" ces récits dissociés et en proposent un nouvelle lecture en miroir, plus intime et imbriquée pour un thriller politique implacable et inédit.