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Apres le succès de The conversation en 2013, Texas est de retour ! Ce groupe a une longévité rare : 40 millions d'albums vendus, des hits de référence comme I don't want a lover, Say what you want, Black eyed boy, Summer son etc. Cet opus est écrit et produit par Johnny McElhone et Sharleen Spiteri entre Londres et Glasgow, et mixé par Craig Silvey (Arcade Fire, Florence & The Machine, Noel Gallagher). En 2017, Texas n'a jamais semblé aussi vivant : "Nous nous sentons revigorés" dit Sharleen avec un sourire. "Nous avons assurément passé un super moment à faire ce disque. Il est temps de se lâcher, c'est comme un nouveau départ. C'est un nouveau chapitre de notre histoire. Et nous l'adorons."

Après huit ans d'absence, il revient avec un quatrième album studio. Last night in the bittersweet est une épopée de 70 minutes qui couvre un spectre allant du rock classique au post-punk en passant par un krautrock hypnotique, ce qui en fait l'opus le plus profond, le plus varié et le plus accompli de l'italo-écossais à ce jour.

Ce septième album studio distille tout ce qui a fait d'Elbow un groupe remarquable depuis leur First moment en 1999.

Enregistrement du concert du 23 mars 1974 Penny Station à Griessem (Allemagne)

Ce cinquième projet studio de Bat For Lashes aka Natasha Khan fait suite à la sortie de The bride en 2016, poétique et mélancolique. Ce projet mêle habilement lignes de basse profondes, pop sophistiquée et choeurs en cascade donnant ainsi naissance à un disque plein de romance, un hommage à Los Angeles (où il a été enregistré) et à l'enfance passée dans les années 80. Avec Lost girls, Natasha Khan crée une nouvelle fois un univers unique et conceptuel nous embarquant dans un voyage avec Nikki Pink, un personnage fictif qui habite la Cité des anges.

La musique de cette formation autrichienne est sombre et lumineuse, triturée de bruits électroniques, à la fois downtempo mais d'une tension fatalement émouvante. Intimes, fragiles, ses mélodies font échos à Diamanda Galas, Nico ou Antony & the Johnsons.

Troisième album, la suite très attendue de The warning. Quelque part entre pop et musique électronique, le quintet londonien signe un disque rempli de titres dancefloor et de ballades plus introspectives. Une orientation qui séduit.

The Liminanas, groupe de la région de Perpignan, avec en son centre un couple/duo Marie (batterie) et Lionel (guitares,voix), est assurément l'une des magnifiques histoires musicales du rock français. Après trois albums sortis en mode underground par des labels indés américains, le groupe a été invité par Jack White à venir jouer dans son studio, Anton Newcombe (Brian Jonestown Massacre), Andrew Weatherall et Pascal Comelade ne tarissent pas d'éloges sur eux. Comment expliquer un tel bouche-à-oreilles ? Peut-être parce que leur musique mélange avec bonheur rock garage, psychédélisme, pop, culture nouvelle vague à la française, et que l'auditeur est embarqué dans une étrange narration, en français et anglais, par de multiples intervenants, et où il est question de plage, de supérettes, de cinéma italien, de Grèce déglinguée et de mille autres choses.

She & Him, le duo composé de Zooey Deschanel (actrice, productrice, chanteuse américaine) et M. Ward (chanteur compositeur indie-pop accompli) a toujours été salué au long de ses 14 ans de collaboration pour l'élégance de ses arrangements et la sophistication de ses interprétations. Sur ce 7e album, ils déclarent leur amour à la pop du génial compositeur/chanteur des Beach Boys dans une ode inspirée par la Californie ensoleillée des années 60. Ces chansons intemporelles sont ici réimaginées avec charme et délicatesse, prouvant qu'elles ont autant de choses à dire aujourd'hui que par le passé.