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Difficile pour Blankass de ne pas jeter un coup d'oeil dans le rétroviseur, que ce soit vers les victoires de la musique à la fin des années 90 ou vers les nombreuses collaborations et rencontres faites durant les années passées à sillonner la France. C'est d'ailleurs entouré de nombreux invités, aussi inattendus que talentueux (Edouard Baer, Alain Chamfort, Michel Cymes, Charline Vanhoenacker ou encore Jean-Pierre Darroussin) que, via la web-série C'est quoi ton nom ? qui cumule déjà plus de 1,5 M de vues, le groupe annonce avec humour son retour dès la fin de l'année 2018. Pour ce sixième album, Blankass a pris le temps de faire les choses bien, composant en studio, en s'autorisant à sortir de tous les codes habituels du groupe, pour proposer 11 titres pop efficaces. Mélangeant programmations, acoustique et électrique, il en résulte des titres entêtants (comme en témoigne le 1er single), dont 2 belles collaborations avec Matthew Caws de Nada Surf et avec le chanteur belge Marka (papa d'Angèle et Roméo Elvis).

Voici un nouvel album de chansons composées depuis la naissance de sa petite fille Camille. À l'image des albums Timoléon et Anaé, co-écrits avec André Ricros, le complice musical de toujours, les chansons racontent l'enfance à tout âge, le merveilleux chamboulement à l'arrivée d'un enfant dans une famille, le fort lien d'un petit enfant à son grand-parent. Père et fille, Steve et Alice Waring interprètent ensemble ces histoires de transmission, d'amour filial. Avec son banjo et ses guitares, il est toujours ce bienveillant grand-père qui chante les plus tendres berceuses et nous raconte les plus folles histoires. Alice Waring, un saxophone à la place du banjo et digne héritière de la musique de son père, insuffle force, amour et joie de vivre avec sa voix claire et un son chaleureux !

Ce disque renoue avec le dialogue interculturel entre la France et l'Arménie établi à la cour du roi d'Arménie au XIIIème siècle. Au travers de pièces françaises et arméniennes, lumineuses et aériennes, qui à leur manière nous parlent de paix et de respect de l'autre, le dialogue reprend, poétique et intemporel.

Daphné ne parle pas d'elle, elle parle d'ailes. Les amants sont des oiseaux, la musique s'envole, la voix plane en apesanteur. Caresse songeuse, ruisseau rieur, notes hautes d'amante et d'oiseau. Avec son nouvel album résonne à nouveau le chant de celle à qui l'on donna, il y a deux ans, le nom de fée.

Avec cet album, La Compagnie s'offre un envol autour des plus grands hymnes de carnavals chantés a travers le monde entier. Cette aventure est articulée autour d'un concept singulier, prouvant encore une fois que La Compagnie ne cessera jamais de nous surprendre. De Samba de Brazil à Olé lé, en passant par le célèbre Bal masqué, ils nous entrainent dans un voyage coloré au cour des plus beaux carnavals du Brésil aux Antilles, du Quebec à l'Espagne.

Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Catherine Falgayrac nous conte ici, de sa voix émouvante et chaude, l'histoire de ces trois femmes aux destins croisés.

"La bêtise, c'est un type qui vit et qui dit "a me suffit", disait Jacques Brel. Il faut croire que Soan a su s'en inspirer. Même si cette rage de vivre l'a poussé par le passé à se brûler les ailes, c'est vers la quiétude et la création qu'elle l'emmène à présent. Avec cet album, il s'offre un second souffle, sans concession ni effets spéciaux, un retour à l'essentiel. Se plonger dans son univers, c'est découvrir un monde d'intense poésie qui prend racine à la fois dans l'interprétation emphatique de Jacques Brel et dans l'énergie du désespoir soufflée par le grunge des années 90.

Une ritournelle lancinante trotte dans la tête de Kay. D’où vient-elle ? Que signifie-t-elle ? Pourquoi l’obsède-t-elle à ce point ? En plongeant dans ses souvenirs, la jeune femme revoit une scène imprécise, lorsqu’elle était enfant, dans la propriété des Carrington où elle a grandi... Depuis, Kay a épousé Peter, l’héritier de la famille. Mais les rumeurs qui courent sur son époux concernant la disparition d’une jeune fille et la mort accidentelle de son ex-femme, retrouvée noyée dans la piscine, se confirment et Peter se retrouve en prison. Convaincue de son innocence, Kay se laisse emporter par cette musique sans savoir qu’elle recèle un secret très dangereux pour elle, et pour lui...